lundi 29 octobre 2012

Prise de tête pour prise de sol


On avait décidé de ne pas mettre de luminaire au plafond, mais plutôt des lampes de sol. Il a donc fallu percer deux dalles pour insérer des prises dans le sol. Elles sont tellement dures qu'Henry a mis plus d'une heure pour faire un trou, en forçant comme un boeuf.
 

Et la perceuse a tellement chauffé que régulièrement il a fallait la tremper dans l'eau pour refroidir l'embout.
 

Et voilà le résultat.

Week-end carrelage


 C'est avec la première neige qu'on démarre un chantier important et intéressant, le carrelage. La préparation au démarrage nécessite réflexion et stratégie: il faut commencer parfaitement d'équerre.


Les dalles font 60 x 60 et sont bien lourdes. Heureusement le petit chariot permet de les déplacer plus facilement.


Vue de la mezzanine.

Tout beau tout blanc



 Ca y est, notre belle pièce du rez-de-chaussée est prête: les plafonds sont peints et les murs recouverts de leur couche d'apprêt. Tout est parfaitement blanc.



On va pouvoir passer à l'étape suivante...


 

dimanche 21 octobre 2012

Dépannage express


Le camion est bien descendu, et heureusement, pour pouvoir décharger le carrelage. Mais pour remonter la côte, impossible! 
Heureusement Bernard a pu le tracter. Une fois de plus, merci Bernard!

Le carrelage, enfin


Aujourd'hui livraison du carrelage: voici les grandes dalles du rez-de-chaussée, pas moins de 25 kg le paquet de 3!
 

Et puis le carrelage de la petite salle de bains, qu'on dépose directement à l'étage.
 

On pose quelques dalles, pour le plaisir. Et le week-end prochain, on attaque!
Là cette fois, tout va changer.

 


Ponçage, ponçage, et overdose




Henry est transformé en ponceuse. Pendant des heures et des heures, il ponce murs et plafonds pour que la peinture finale soit parfaite. A la fin de la journée, nous sommes couverts de poussière de plâtre, les yeux nous piquent et on a la gorge sèche...ce qu'il ne faut pas endurer!



La température du week-end est fort agréable.
 


 Et le soleil nous fait la fête.


Enfin, on passe à la peinture des plafonds. Je pense que l'escabeau sera complètement usé à la fin des travaux!


 

mardi 9 octobre 2012

Place au four



 On a décidé d'encastrer le four dans le mur qui donne sur la chaufferie. Henry pose le meuble où il va se loger.
 

Vue de l'intérieur de la chaufferie. Pas de problème, c'est costaud.

 

Encore et toujours des finitions


Les poutres et les bordures demandent beaucoup de soins. Il faut tout recouvrir de placo et faire les joints. Des kilomètres de joints!
 

Et Bernard, toujours fidèle au poste, seconde Henry efficacement.

 

Visites du week-end



Mon amie Isabelle nous a fait le plaisir de venir visiter le chantier avec ses parents. Merci Isa!
 

Ava a beaucoup apprécié la ballade sur la voie verte.

 

lundi 1 octobre 2012

Et la lumière fut...



 Voilà, le plancher provisoire n'est plus nécessaire: il a rempli son office, et maintenant nous devons songer à préparer la pièce du bas.


Henry défait méticuleusement les planches et les chevrons, qui nous resserviront pour les étagères de notre future bibliothèque.


Le coeur de notre maison s'ouvre à la lumière. 
Quel espace!
 


On va pouvoir finir les caissons au-dessus des baies vitrées et faire les finitions du rez-de-chaussée.
Et en attendant la barrière, il va falloir ouvrir les yeux!



La rumba des pinceaux


La mezzanine, c'est un peu notre chouchou: on la bichonne. Et puis il faut procéder par ordre: c'est-à-dire qu'il faut finir les murs et les plafonds pendant qu'on a le plancher provisoire, sur lequel est installé le petit échafaudage, ou l'escabeau.



Voilà une jolie baguette de finition qu'Henry pose tout autour de la verrière. Un dernier petit coup de ponçage...


Et je passe la dernière couche de vernis sur les boiseries. 


Pendant ce temps, il passe une couche d'impression sur les murs, aux joints parfaitement invisibles. Les plafonds sont finis, tout beaux, tout blancs.
Nous avons choisi des produits aux COV de classe A, c'est-à-dire des matériaux sains, qui ne nous pollueront pas la vie.
 

Notre mezzanine, on l'adore.