Vue de face

Dernière photo de la façade parasitée par le volume de terre du décaissement primaire.

Le drain de surface

Heureusement que Bernard, le beau-frère d'Henry, a des genoux de gardiens de but: il aura passé deux semaines dans cette position! Un grand merci à lui (et à ses genoux).

Pour que l'eau soit évacuée le plus rapidement possible de la dalle, on pose un drain horizontal de surface, sous forme de plaques de polystyrène trouées et alvéolées. L'eau ainsi canalisée s'évacuera par le drain jaune installé en bas de pente de la dalle, contre l'acrotère. Il sortira directement de chaque côté à travers les futurs murs de soutènement.

Chantier de nuit

Pour finir le week-end, et toujours en vue du remblayage, on pose un revêtement servant de protection et de drainage de l'isolant vertical. Le reste sera posé au fur et à mesure de l'avancement du remblayage.

Le puits canadien - suite

Avant le remblaiement imminent, on procède à la fixation sur les parois de la suite des tuyaux qui se rejoindront en leur point le plus haut, et à ce raccordement on placera un purgeur automatique. La longueur des tuyaux placés ainsi dans le sol est de 200 mètres.

Cette variante de puits canadien, réalisée par Henry, est placée verticalement. L'eau qui circulera dans ces tuyaux passera dans un échangeur, pour réchauffer l'air frais extérieur venant alimenter la VMC double flux. En été, ce système permettra de rafraîchir l'air extérieur insufflé dans la maison.

Nouvelles couches d'étanchéité

Pour assurer définitivement l'étanchéité, on pose sur l'isolant deux nouvelles couches soudées l'une sur l'autre: la première c'est une toile bitumineuse simple, et la seconde c'est une toile bitumineuse revêtue de paillettes d'ardoise, comme sur les murs.

Et on isole encore!

 

  

Une bonne couche de polystyrène pour continuer, et je crois que nous serons bien au chaud  l'hiver prochain.  

                                                                                  

Le pare-vapeur.

Seconde étape du traitement de la dalle du toit: pose d'un pare-vapeur. Elle s'effectue aussi avec un chalumeau pour adhérer parfaitement au béton.

 

La grue n'est plus, vive le treuil!

Et oui, la grue nous a quitté pour d'autres horizons. Nous regrettons sa ligne élancée qui veillait mine de rien sur les travaux, sans compter les multiples services rendus.

Qu'à cela ne tienne, Henry n'est pas pris au dépourvu: il a bricolé un support avec un treuil, c'est solide, et pour porter les rouleaux de toile au goudron, qui sont bien lourds, c'est parfait.

Toute de noir vêtue...

 

Coeur de Gaïa s'isole: voilà la dalle et le haut des murs recouverts de goudron pour les rendre étanches.

Seconde couche: Henry et Bernard posent les rouleaux de toile goudronnée.

Et le soleil se couche sur notre chantier, après une belle journée de travail.

Le bonheur.

Henry sur son chantier: un homme heureux!

Finitions avant étanchéité.

Week-end du 11 novembre: la météo est toujours avec nous, alors on en profite. Avant de passer à la dernière étape de l'étanchéité, il faut renforcer la cheminée et l'ouverture de passage des gaines techniques, en prévision de la poussée de la terre lorsqu'on va remblayer.

 Le travail consiste à entourer les conduits de béton armé pour les rendre solides à toute épreuve.

Deux jeunes beautés sont venues en renfort...

La façade.

Maintenant que la structure béton est presque terminée, on songe à fermer, c'est-à-dire réaliser la façade vitrée. Au rez-de-chaussée, ce sera des portes vitrées coulissantes, et à l'étage, une sorte de véranda. Et on vient de recevoir les éléments en bois qui vont la composer. La plus longue poutre mesure plus de 12 mètres!

  

Ce week-end, Henry commence à les couper. C'est un vrai travail de précision.  Et puis il pleut, on est aussi bien à l'intérieur.

L'acrotère.

Après quelques jours d'interruption, le chantier reprend. Voici le coffrage, et la réalisation de l'acrotère, ce petit muret au bord du toit, qui va servir à retenir la terre, pour l'empêcher de glisser et se répandre sur le devant de la maison.

Bon, ça commence à ressembler à quelque chose, non?